في إطار الحملة التحسيسية الوطنية التي تنظمها الجامعة الوطنية لجمعيات المستهلك، خلال الفترة الممتدة ما بين 3 و9 فبراير الجاري، انخرطت جميع الجمعيات المنضوية تحت لواءها في هذه العملية من أجل المساهمة في نشر الوعي الاستهلاكي ببلادنا، وتعزيز الثقافة الاستهلاكية لدى المواطن المغربي.
،الجامعة الوطنية لجمعيات المستهلك تتوفر على ستة عشر شباك مهني موزعة على التراب الوطني، ومجهزة بوسائل حديثة لتتبع قضايا وشكاوى المستهلكين، بعدما كانت جمعيات حماية المستهلك تشتغل بوسائل تقليدية قديمة، استطاعت اليوم الجامعة تزويد الجمعيات التابعة لها بشبابيك معززة بوسائل تكنولوجية حديثة، وتطبيقات جديدة لتدبير وتتبع شكاوى المستهلكين باحترافية ونجاعة.
يقوم شباك المستهلك بأربع مهام رئيسية، كتوجيه المستهلك وإرشاده، أو إحالته إلى مؤسسات أخرى مثل السلطات أو جمعيات متخصصة أو جمعيات حماية المستهلك الأقرب إلى مكان إقامة المستهلك، أو أي جهة أخرى مختصة، بالإضافة إلى العمل الاستباقي والوقائي كالتواصل والتوعية والتحسيس والتأطير والتكوين، حيث أنّ هذا العمل مكنّ على المدى المتوسط من تجنب النزاعات بين المستهلكين والموردين، وعلى المستوى البعيد من نشر الثقافة الاستهلاكية السليمة.
أن الشباك سيساعد المستهلكين، إما عن طريق الهاتف أو البريد الإلكتروني أو من خلال زيارة المستهلك لمقر الشباك على اتخاذ القرارات المناسبة والملاءمة لحاجياته، وحل النزاعات التي تحدث بين المستهلك والمهني في إطار حلول ودية بين الطرفين مع استحضار حقوق المستهلك، علما أن الشباك يتدخل لصالح المستهلك في حالة نشوب نزاع أو خلاف بين الطرفين.
إن حقوق المستهلك محمية بموجب القانون رقم 08-31، القاضي بتحديد تدابير لحماية المستهلك باعتباره إطار تكميلي للنظام القانوني لحماية المستهلك الذي يتم من خلاله تعزيز حقوق المستهلك، ولاسيما منها، الحق في الإعلام؛ الحق في حماية حقوقه الاقتصادية؛ الحق في التمثيلية؛ الحق في التراجع؛ الحق في الاختيار؛ الحق في الإصغاء إليه.
وبناء عليه، فجمعيات المستهلك تقوم بالدفاع عن هذه حقوق المستهلك وحمايتها من جميع أشكال الغش والابتزاز والتدليس، ومن جهة أخرى، تقوم بتقديم معلومات ونصائح وتوجيهات للمستهلك حتى لا يكون عرضة الممارسات غير المشروعة من بعض المهنيين، وتوفير وثائق تفسيرية وإعلامية للمستهلكين لتحسيسه وإطلاعه على حقوقه.
Des promoteurs interdits des salons immobiliers marocains à l’étranger
Les organisateurs des Smap Immo qui se tiennent bientôt à Bruxelles, Paris et Dubaï ont décidé de ne pas accueillir certains promoteurs sous le feu des critiques des acquéreurs.
Chaque année, les promoteurs immobiliers marocains exposent leurs offres commerciales lors de salons organisés à l’étranger. Ces Smap immo accueillent des milliers de visiteurs, la plupart des Marocains résidents à l’étranger. Cette année, le premier salon se tiendra fin mars à Bruxelles, le deuxième en mai à Paris et le troisième à Dubaï en novembre. Au total, 110 000 visiteurs sont attendus. A chaque fois, l’événement compte des dizaines d’exposants.
Le premier mettra l’accent sur les offres situées dans la région de Tanger, étant donné que d’après les sondages réalisés par les organisateurs, les MRE de Bruxelles, des Pays-Bas et d’Allemagne sont massivement originaires de cette région.
Les années précédentes, des acquéreurs ont profité de ces événements pour dénoncer, à l’aide de manifestations, ce qu’ils considèrent comme étant une injustice : principalement retards de livraison et décalages entre les biens livrés et les plans présentés lors de la vente. 2016 bis repetita ? La présidente de l’association ACIA, qui défend les acquéreurs du projet les jardins de Moulaya à Saïdia (mené par General firm of Morocco, filiale marocaine de Fadesa rachetée en 2007 à 50 % par Addoha), prévient déjà, désolée, que « Tout dépendra des réponses qui seront apportés par l’équipe Addoha lors de notre prochaine réunion en mars. Mais tous nos adhérents nous poussent à faire un sit-in au Smap et c’est bien parti pour… ». « Nous avons eu maintes fois des discussions avec l’association. Leurs biens sont prêts depuis deux ans. Ce sont eux qui ne soldent pas pour récupérer leurs biens », nous explique-t-on au niveau d’Addoha.
L’association d’essaouira commémore la journée mondiale du consommateur,
Une association active, bonne continuation.
En commémoration de la journée mondiale des droits du consommateur, célébrée le 15 mars de chaque année, la délégation du Ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’investissement et de l’Economie Numérique, en collaboration avec l’Association de Protection des Consommateurs d’Essaouira Jeudi 17 mars 2016 on organisé une table ronde sous le thème «Comment acheter sur internet en toute confiance ».
Attention, du poison dans notre pain !
La communauté scientifique marocaine tire la sonnette d’alarme : l’apport du pain en sel dépasse toutes les normes ! Une étude a été réalisée en ce sens à Casablanca et a concerné 80 boulangeries dans la ville. Les résultats ont démontré que la quantité moyenne de sel utilisée dans la confection de pain est de 17,4 grammes pour chaque kilogramme. « La plupart des boulangeries à Casablanca utilisent entre 15 et 20 grammes de sel pour chaque kilogramme de pain », révèle l’étude. Quand on sait que la consommation moyenne est de 500 g de pain par jour, la « quantité de sel ingérée par le Marocain à travers le pain uniquement atteint 8 à 9 grammes par jour ». On est bien loin des 5 g de sel recommandé quotidiennement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Rappelons que la consommation excessive du sel est associée non seulement à un risque d’hypertension artérielle et de maladies cardiovasculaires, mais également au cancer de l’estomac, de l’obésité, de maladies néphrétiques, de vieillissement prématuré de la peau et d’ostéoporose. De même, cette surconsommation représente à elle seule 10% (1.65 million) des mortalités des maladies cardiovasculaires.
La récolte et la commercialisation des coquillages issues de la zone conchylicole Douira-Sidi R’bat, relevant de la région d’Agadir est interdite, jusqu’à épuration totale du milieu.
C’est ce qu’a décidé le Département de la Pêche maritime suite aux résultats d’analyses effectuées par l’Institut national de recherche halieutique (INRH) au niveau de cette
Zone.
En effet, ces analyses dénotent la présence de biotoxines marines dans les coquillages «à des teneurs anormales».
En conséquence, il est recommandé aux consommateurs de ne s’approvisionner qu’en produits conditionnés, portant les étiquettes sanitaires d’identification et commercialisés dans les points de vente autorisés (marchés officiels).
Aussi le département de la Pêche maritime met en garde contre «les coquillages colportés ou vendus en vrac étant qu’ils ne présentent aucune garantie de salubrité et constituent un danger pour la santé publique»